精品偷拍一区二区三区,亚洲精品永久 码,亚洲综合日韩精品欧美国产,亚洲国产日韩a在线亚洲

  • <center id="usuqs"></center>
  • 
    
  • 英語翻譯

    英語翻譯
    其水北為大明湖,西即大明寺,寺東北兩面?zhèn)群?此水便成凈池也.池上有客亭,左右楸桐,負日俯仰.目對魚鳥,水木明瑟.可謂濠梁之性,物我無違矣.
    語文人氣:890 ℃時間:2020-01-29 12:39:55
    優(yōu)質(zhì)解答
    大 明 湖
    自從那日起,又過了幾天,老殘向管事的道,“現(xiàn)在天氣漸寒,貴居停(注:居停
    ,即主人、東家.)的病也不會再發(fā),明年如有委用之處,再來效勞.目下鄙人要往濟
    南府去看看大明湖的風景.”管事的再三挽留不住,只好當晚設(shè)酒餞行,封了一千兩銀
    子奉給老殘,算是醫(yī)生的酬勞.老殘略道一聲“謝謝”,也就收入箱籠,告辭動身上車
    去了.一路秋山紅葉,老圃黃花,頗不寂寞.到了濟南府,進得城來,家家泉水,戶戶
    垂楊,比那江南風景,覺得更為有趣.到了小布政司街,覓了一家客店,名叫高升店,
    將行李卸下,開發(fā)了車價酒錢,胡亂吃點晚飯,也就睡了.
    次日清晨起來,吃點兒點心,便搖著串鈴滿街踅(注:踅,往返來回,兜圈子.)
    了一趟,虛應(yīng)一應(yīng)故事.午后便步行至鵲華橋邊,雇了一只小船,蕩起雙槳.朝北不遠
    ,便到歷下亭前.下船進去,入了大門,便是一個亭子,油漆已大半剝蝕.亭子上懸了
    一副對聯(lián),寫的是“歷下此亭古,濟南名士多”,上寫著“杜工部句”(注:杜工部,
    詩人杜甫.),下寫著“道州何紹基書”.亭子旁邊雖有幾間群房,也沒有什么意思.
    復(fù)行下船,向西蕩去,不甚遠,又到了鐵公詞畔.你道鐵公是誰? 就是明初與燕王為難
    的那個鐵鉉.后人敬他的忠義,所以至今春秋時節(jié),土人尚不斷的來此進香.
    到了鐵公祠前,朝南一望,只見對面千佛山上,梵宇僧樓,與那蒼松翠柏,高下相
    間,紅的火紅,白的雪白,青的靛青,綠的碧綠,更有那一株半株的丹楓夾在里面,仿
    佛宋人趙千里的一幅大畫,做了一架數(shù)十里長的屏風.正在嘆賞不絕,忽聽一聲漁唱.
    低頭看去,誰知那明湖業(yè)已澄凈的同鏡子一般.那千佛山的倒影映在湖里,顯得明明白
    白.那樓臺樹木,格外光彩,覺得比上頭的一個千佛山還要好看,還要清楚.這湖的南
    岸,上去便是街市,卻有一層蘆葦,密密遮住.現(xiàn)在正是著花的時候,一片白花映著帶
    水氣的斜陽,好似一條粉紅絨毯,做了上下兩個山的墊子,實在奇絕.
    老殘心里想道:“如此佳景,為何沒有什么游人?”看了一會兒,回轉(zhuǎn)身來,看那
    大門里面楹柱上有副對聯(lián),寫的是“四面荷花三面柳,一城山色半城湖”,暗暗點頭道
    ,“真正不錯!”進了大門,正面便是鐵公享堂(注:享堂,祭堂.),朝東便是一個
    荷池.繞著曲折的回廊,到了荷池東面,就是個圓門.圓門東邊有三間舊房,有個破匾
    ,上題“古水仙祠”四個字.祠前一副破舊對聯(lián),寫的是 “一盞寒泉薦秋菊,三更畫船
    穿藕花”.過了水仙祠,仍舊上了船,蕩到歷下亭的后面.兩邊荷葉荷花將船夾住,那
    荷葉初枯,擦的船 襪 價響;那水鳥被人驚起,格格價飛.那己老的蓮蓬,不斷的繃到
    船窗里面來.老殘隨手摘了幾個蓮蓬,一面吃著,一面船已到了鵲華橋畔了.
    (選自人民文學版《老殘游記》劉鶚 著)
    Le Lac Ta-ming
    Quelques jours plus tard, il dit à l'intendant des Houang :
    -- A présent que le temps se refroidit, la maladie de votre ma?tre ne peut
    plus récidiver. L'année prochaine, si vous avez encore besoin de moi, je
    reviendrai vous obliger. Pour le moment, je compte aller à Tsi-nan pour
    visiter le lac Ta-ming et jouir de son paysage.
    L'intendant, ayant vainement essayé de le retenir, ne put que préparer en
    son honneur, ce soir-là, un festin d'adieu ; et en rémunération de ses
    services, il lui présenta un paquet ren- fermant mille taels ou onces
    d'argent.
    Lao Ts'an pronon?a quelques mots de remerciements, serra le paquet dans ses
    bagages et, ayant pris place dans une charrette, s'en alla.
    Tout le long du chemin les collines automnales lui offrirent leurs
    feuillages rouges et les vieux jardins leurs chrysanthèmes, aussi
    n'éprouva-t-il aucun ennui.
    II arriva à Tsi-nan. Dans la ville, une source coulait de chaque maison et
    les saules pleureurs ornaient chaque porte. II trouva cela plus plaisant
    même que les paysages du Kiang-nan. II se dirigea vers la Petite-Rue de la
    Trésorerie et y découvrit une auberge qui s'appelait I'H?tel de la Promotion.
    II y déposa ses bagages, paya la voiture et donna un pourboire au cocher;
    puis il fit un repas de fortune et se mit au lit.
    Le lendemain, levé de bon matin et lesté d'une légère collation, il
    partit à travers les rues de la ville, faisant sonner son enfilade de grelots
    comme dans l'exercice de sa profession, mais sans conviction.
    L'après-midi, il poussa jusqu'au pont de la Diaprure des Pies où il loua
    une barque sur le lac Ta-ming . II se mit aux rames et à peu de distance au
    nord atteignit le pavillon Li-hia , où il débarqua. Pénétrant par la
    grande porte, il y trouva un pavillon dont la peinture était en grande partie
    écaillée. Au mur se déroulaient verticalement deux inscriptions parallèles e
    e
    t symétriques; les cinq caractères de chaque panneau de ce
    touei-lien disaient:
    A Li-Hia ce pavillon est le plus ancien;
    A Tsi-nan les lettrés illustres sont légion.
    Le coin supérieur de droite portait les mots : ? Composé par T'ou Fou . ?
    En bas à gauche on lisait : ? écrit par Ho Chao-ki de Tao-tcheou. ? Auprè
    s du pavillon se trouvaient quelques dépendances qui ne présentaient pas d
    'intérêt. Lao Ts'an reprit la barque et rama vers l'ouest. Non loin il abo
    rda à la rive du temple de T'ie Kong. Qui était ce duc de Fer ? C'est ce T
    'ie Hiuan qui, au début de I'ère Ming, se dressa contre le prince Yen. Son
    courage et son loyalisme ont fait l'objet d'une telle vénération de la pa
    rt des générations postérieures qu'aujourd'hui encore, aux fêtes du prin
    temps et de l'automne, la population vient en ce lieu sacrifier à sa mémoi
    re en br?lant de l'encens.
    En arrivant au temple, Lao Ts'an jeta un coup d'oeil vers le sud et vit de l
    'autre c?té du lac,
    sur le mont des Mille Bouddhas , des temples et monastères bouddhiques cont
    rastant entre eux par leur silhouette et disséminés au milieu des pins gri
    s-vert et des cyprès turquoise.
    L'ensemble présentait des points rouges comme le feu, blancs comme la neige
    , bleus comme l'indigo et verts comme l'émeraude, avec ?à et là les tache
    s vermillon des érables. C'était comme une grande peinture de Tchao K'ien-
    li des Song, montée sur un écran de plusieurs dizaines de li de longueur.
    Comme il n'arrêtait pas de soupirer d'admiration à ce spectacle, il entend
    it soudain le chant d'un pêcheur. II baissa la tête, cherchant d'où venai
    ent ces sons, et s'aper?ut que le lac était devenu aussi clair et lisse qu'
    un miroir. L'image renversée du mont des Mille Bouddhas s'y réfléchissait
    de fa?on parfaitement distincte : les pavillons, les terrasses et les arbre
    s y prenaient une splendeur extraordinaire et semblaient encore plus beaux e
    t plus clairs que le mont d'en haut. Si l'on aborde à la rive sud du lac, o
    n arrive à une rue animée; mais pour Lao Ts'an elle était complètement m
    asquée par une vaste plage de roseaux compacts qui se trouvaient justement
    en pleine floraison. Et l'étendue des épis neigeux reflétant les rayons c
    hargés de vapeur du soleil déclinant était comme un tapis de velours rose
    formant un coussin entre les deux collines, la haute et la basse — spectac
    le vraiment merveilleux.
    Lao Ts'an se dit en lui-même : ? Un paysage d'une telle beauté ! comment s
    e fait-il qu'il n'y ait pas de promeneurs ? ?
    Quand, se détournant enfin à regret du panorama, il s'approcha du temple d
    e T'ie Kong, il vit sur les colonnes intérieures de la porte un autre touei
    -lien où ces inscriptions verticales se faisaient face :
    Les lotus parent les quatre coins et les saules en ornent trois; La montagne
    commande la ville entière et le lac la Moitié.
    ? C'est bien vrai ?, se dit-il en hochant doucement la tête. II entra; en f
    ace de lui était la salle de sacrifice du duc T'ie Hiuan. A l'est se trouva
    it un bassin de lotus sacrés entouré d'une galerie en zigzag. Au-delà du
    bassin s'ouvrait une porte en forme de lune, et encore à l'est de celle-ci
    il y avait une vieille construction de trois travées au front de laquelle u
    n panneau tout cassé portait ce nom :
    Ancien temple du Génie des Eaux.
    Ici encore un touei-lien rongé par le temps offrait ce distique:
    Une coupe de la fontaine glacée s'offre anx chrysanthèmes de l'arrière sa
    ison;A la troisième veille la barque peinte se fraie un passage parmi les l
    otus.
    Après avoir visité ce temple, Lao Ts'an remonta dans la barque qu'il dirig
    ea a l'arrière du pavillon Li Hia. Les fleurs et les feuilles de lotus ense
    rraient la barque. Les feuilles, qui commen?aient à se flétrir, bruissaien
    t contre ses flancs, tandis que les oiseaux aquatiques, éffrayés par la ve
    nue de l'homme, s'envolaient en criant. Les capsules de lotus aux graines dé
    jà m?res s'accrochaient au bordage et pénétraient jusqu'à la cabine. Lao
    Ts'an en cueillit plusieurs au passage, et comme il en dégustait les grain
    es, la barque toucha le Pont de la Diaprure des Pies.
    (Traduit du chinois par Cheng Tcheng,Gallimard/Unesco)
    我來回答
    類似推薦
    請使用1024x768 IE6.0或更高版本瀏覽器瀏覽本站點,以保證最佳閱讀效果。本頁提供作業(yè)小助手,一起搜作業(yè)以及作業(yè)好幫手最新版!
    版權(quán)所有 CopyRight © 2012-2024 作業(yè)小助手 All Rights Reserved. 手機版